Maladie inflammatoire chronique, l’arthrose peut, dans les cas les plus sévères, devenir handicapante au quotidien. Des aménagements intérieurs peuvent toutefois permettre au patient de préserver son autonomie au sein de son habitation.
Arthrose : les aménagements les plus fréquents
A un stade avancé, l’arthrose peut être à l’origine de douleurs articulaires intenses qui sont susceptibles d’entraver les différentes activités quotidiennes telles que la toilette et les tâches ménagères. Pour éviter de recourir à une aide extérieure, certains aménagements intérieurs de l’habitation peuvent se révéler particulièrement précieux pour soulager l’arthrose (plus d’informations pour soulager l’arthrose ici) ou, du moins, favoriser un maintien à domicile le plus longtemps possible.
Lorsque l’on souffre de gonarthrose ou de coxarthrose, par exemple, monter des escaliers relève parfois du défi sportif. L’installation d’une rampe, voire d’un monte-escalier automatique, s’avère une alternative efficace. On peut également envisager la pose d’une douche à l’italienne ou d’une baignoire avec porte d’accès par exemple.
Arthrose : la prise en charge financière des aménagements
Quelle que soit leur nature, les modifications d’un logement « classique » pour répondre aux besoins d’un patient atteint d’arthrose ont un coût. Et en la matière, la facture peut très vite grimper en fonction des travaux à prévoir.
S’il ne s’agit que de petits réaménagements de la cuisine, par exemple, pour permettre à un patient souffrant d’arthrose des doigts (plus d’informations sur cette page : http://www.arthrolink.com/diagnostic/patient-virtuel/mains-les-symptomes) d’attraper facilement les ustensiles de cuisine, la charge financière reste acceptable. Il existe en effet différents accessoires et aides techniques peu onéreux qui facilitent la préhension des objets. Mais ce n’est pas toujours le cas.
Cependant, certains patients peuvent bénéficier d’une aide financière dans le cadre de l’aménagement de leur logement ou, le cas échéant, de leur déménagement vers une habitation mieux adaptée à leur situation. Pour cela, le caractère handicapant de l’arthrose doit être reconnu par les autorités compétentes.
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